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 Skins Of Wolves

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Benjamin

Benjamin


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MessageSujet: Skins Of Wolves   Skins Of Wolves Icon_minitimeMer 25 Mai - 14:29

Chapitre 1
Matinée « Normale »


C’était un matin d’été comme tous les autres or mi le fait que notre rentrée au lycée de Londres illuminait l’esprit de nos parents. L’époque du collège étant terminée, le bac s’approchant, la pression que vous infligent vos parents est soi réduit à rien ou alors portée à l’extrême. Notre sœur ainée, n’ayant pas eu son bac du premier coup (c’est bien dommage), l’espoir de nos parents reposent sur nous. Ah mais désolé, j’ai oublié de me présenter. Je m’appelle Edward McGregor, je viens d’avoir dix-sept ans, je suis comme vous ; j’ai une vie normale ainsi qu’une famille normale. J’ai une grande sœur ainée enquiquineuse qui râle tout le temps de vingt ans et qui s’appelle Margareth, un père à la fois relax et bourreaux de travail nommé George et une mère du genre de celle qui vous pince les joues comme font les grands-mères appelée Marianne et aussi mon frère jumeau Timothy. Et oui, Tim et moi sommes deux véritables jumeaux. Nous sommes nés ensembles, nous avons dormi ensembles, nous avons joué ensembles, nous avons fait souffrir nos parents ensembles. Nous sommes semblables en tous points au niveau du physique. Nous atteignons tous les deux un mètre quatre-vingt-quinze, nos cheveux sont bruns et recouvrent nos oreilles, nos yeux sont marron et nos teints sont également tous les deux mâtes. Mais niveau caractère, nous sommes comme le jour et la nuit. Tim est plutôt fonceur, provocateur, insolant envers les adultes, dragueur (aidé par son physique) et désobéissant. Je ne suis pas obéissant comme un gentil chien bien dressé ni l’intello de service mais je n’aime pas trop me mettre en avant ni trop me la ramener surtout si cela peut m’attirait des ennuis. En général, comme nous sommes identiques physiquement, c’est moi qui ramasse les conneries de Tim et qui dois nettoyer derrière lui. Même nos parents ont souvent fait cette erreur avant d’arriver à nous différencier (c’est-à-dire pas avant un moment). Le style vestimentaire est aussi différent que le caractère entre nous. Mon frère aime mettre des blousons en cuir, des jeans troués de partout et descendus jusqu’au ras du genou (je n’exagère qu’à peine). Je préfère mettre des T-shirt avec bermuda ou jean abimé au genou et descendu un tantinet avec une veste par-dessus le tout.

Enfin bref. Le matin du premier septembre deux mille onze, le réveil me réveilla à 7h40. La rentrée se passait au lycée à 8h30. Je détestais entendre le bruit agaçant du réveil, surtout après plus d’un mois de grâce matinée et de repos. Je me levai au bout de quelques minutes après la sonnerie du réveil. Je tournai mon regard vers la fenêtre pour voir le temps : pas de pluie ni de soleil trop chaud, un temps plutôt neutre. Je posai ensuite mon regard vers le lit de Tim qui se situait près de la fenêtre, à la droite de mon lit. J’avançai vers Tim avec mon visage à peine réveillé.

- Allez lève toi grosse feignasse, lui dis-je d’une voix rauque et enrouée.
Un gémissement énervé me répondit tel celui d’un vieux lion endormi qui râle quand on lui demande un effort. Je fis plusieurs tentatives pour le réveiller après celle-ci mais toujours résolues à ce même gémissement. Je laissai s’échapper un soupire et finis par laisser tomber. Il allait me mettre à la bourre avec ses conneries. J’ouvris la porte de notre chambre et plissai les yeux en découvrant la lumière que la fenêtre, postée en face de la porte, laissait passer. Je baissai la tête, ébloui par les rayons lumineux et me dirigeai au bout du couloir pour espérer avoir accès à la salle de bain. Arrivé en face de la porte blanche, j’entendis le bruit de l’eau de la douche qui coulait.

- Fais chier, soupirai-je à moi-même.
Même si je venais de quitter le lit, je savais que Maggie occupait la salle de bain depuis déjà un bout de temps. Elle avait le don de m’agacer à monopoliser tout le temps les choses dont les autres ont besoin. C’était devenu un jeu pour elle de m’énerver en faisant des choses de ce genre. Je frappai plusieurs fois à la porte avec une force de plus en plus intensifiée à cause de la colère.

- Sors de là conasse !
Mais aucune réponse. Mais bon j’avais l’habitude maintenant. En attendant que la salle de bain soit libre, je retournai dans notre chambre et sortit mes vêtements. Je sortis de la commande située contre le mur, à côté de la porte, un T-shirt blanc et un jean troué aux genoux. J’avais laissé mes chaussures en bas. Tim, réveillé par le grincement des tiroirs, me regarda avec des yeux engourdis, le temps pour lui de faire le point.

- T’es obligé de faire autant de bruit ?!
- Fallait bien que tu te réveilles un jour.
- T’es un véritable emmerdeur mon pauvre Eddy.
- Je comprends mieux maintenant pourquoi on est jumeau.
Je lui lançai un sourire mesquin avant d’embarquer mes vêtements vers la salle de bain. Je l’entendais grommeler et lâcher quelques jurons, sûrement en se souvenant de la rentrée. Quoique je ne sois pas sûr qu’il s’inquiète réellement de ça.

Maggie sortit de la salle de bain vêtue d’une robe rose fushia, un peu bouffante au bout et plutôt courte, dévoilant ses jambes maigres et mâtes. Ses yeux bruns, camouflés par tout son maquillage et par ses cheveux noirs, me regardèrent fièrement comme une petite fille fière de sa bêtise. Habillée comme ça, on dirait une pauvre fille fan de Barbie. A vingt ans on ne s’habille plus comme ça. Mais quand on voit l’état des filles avec qui elle traine, on comprend tout de suite pourquoi elle met ce genre de vêtement. Ca fait bien longtemps que je ne lui fais plus la remarque. Elle s’habille comme ça depuis plus de six ans. A l’époque, cela ne me choquait pas car toutes les autres filles de son âge s’habillaient comme ça et puis je ne me préoccupais pas des affaires de ma sœur. Mais au fil des années, après sa rentrée au lycée, elle portait toujours ces vêtements et cette surcharge de maquillage. C’est à ce moment là que je me suis mis à lui reprocher son style vestimentaire. Mais tout ce qui comptait pour elle, c’est que les pauvres mecs de sa classe finissent avec elle sous la couette. Mais bon en voyant que mes critiques ne servaient à rien, j’ai décidé de ne plus me mêler de ses affaires. En passant devant moi, son parfum empestait tellement elle en avait trop mis. Je ne savais pas si elle avait fait des mélanges ou quoi mais l’odeur était à la fois infecte et bizarre. Cette odeur nauséabonde me donnait envie de vomir. Ca ne ressemblait à rien de connu. Un mélange selon moi de vanille, kiwi, noix de coco, fruits rouges, rose et pleins d’autres choses de ce genre. Même depuis toutes ces années, je suis toujours étonné que les parents ne lui reprochent rien à ce sujet. C’est vrai, vous aimeriez vous que votre fille ressemble à un croisement entre le monde de Barbie et celui des prostituées ? Je croyais que mes parents lui auraient dit quelque chose au fil du temps mais non, rien, ils restèrent muets comme des tombes.

Je quittai ma sœur des yeux et entendant Tim ouvrir la porte de la chambre. Je me retournai vers lui et il me fixait avec ses yeux endormis et ses cheveux bruns en pétard. A en juger à son visage, tout le monde aurait pu affirmer qu’il ai passé la nuit à boire et à fumer. Pourtant Tim ne fumait pas (enfin je crois) et ne se droguait pas. Mais question alcool, il n’y allait pas de main morte. Il aimait goûter à tout ce qui ressemblait de près ou de loin à de l’alcool.

Il se gratta l’arrière de la tête et regarda mes vêtements d’un mauvais œil.

- Tu pourrais arrêter de mettre des fringues de coincé et te mettre un peu à la page ? me lança-t-il. C’est vrai quoi, t’as l’air d’aller au club de bridge.
- Pour une fois dans ta vie, mêles-toi de tes affaires, rétorquai-je.
- Ouais si tu veux mais j’en ai plein le cul de te voir te trimbaler avec ces fringues la.
- Pourquoi ? Qu’est-ce que ça peut te foutre ?
- C’est juste que quand les autres te voient, c’est moi qui prends tout. T’as pigé ?!
Je le regardai d’un œil rempli de pitiés. De pitiés envers lui je veux dire. Depuis notre plus jeune âge, je dois assumer les conneries qu’il fait et il ose venir me couiner dessus ?! Franchement je commence à en avoir marre.

Enfin, le temps que Tim descende faire je ne sais quoi, je réussis à avoir accès à la salle de bain. Je me brossai les dents, me douchai, m’habillai et descendis au rez-de-chaussée. Mes parents étaient déjà partis au travail et je sais que quand ils partent aussi tôt, ils ne rentrent jamais très tôt. Mon père travaille à la banque comme comptable et ma mère est secrétaire. Leurs journées sont souvent chargées, nous laissant souvent seuls à la maison. Mais souvent, Maggie sort avec ses copines et Tim va trainer et faire je ne sais quelles conneries avec les pauvres gars qui lui servent de copains. Je sors aussi avec mes amis mais en ce moment, je n’avais pas trop l’esprit à sortir en ville. Sinon, mes copains n’étaient pas libre ou bien n’avaient pas envie de sortir non plus.

Je m’assis à la table en bois placée contre le mur de la cuisine à côté de la porte et but un bol de lait. Je vis Tim revenir à l’intérieur de la maison avec son bras chargé de vêtements. Maman avait oublié de remonter les habits et Tim a dû aller les chercher au sous-sol, dans la machine à laver. Il était déjà 8h15 et il n’était toujours pas aller à la salle de bain ! Il n’allait jamais être prêt à temps. Tant pis pour lui. Il me regarda rapidement et monta à l’étage. J’entendis le parquet de l’étage craquer sous les pas de Tim. Je restai assis seul sur ma chaise à surveiller l’heure que me disait la pendule noire accrochée au mur près du frigo. Le bruit des pas dans les escaliers en bois me fit revenir à moi et me fit quitter le chemin éternel des aiguilles de la pendule. Je vis la silhouette maigre de Maggie qui se pavanait devant moi en se dirigeant vers la porte d’entrée. Je me demandais bien où elle allait à cette heure-ci. N’ayant pas d’école ni d’université où aller, je la regardai d’un regard interrogateur.

- Où tu vas ? lui demandai-je.
- Je t’informe très cher crétin de frère, que Mandy m’a donné rendez-vous devant le centre commercial près du centre ville pour m’annoncer une grande nouvelle qui ne regarde pas les pauvres nazes dans votre genre. Donc à plus.
- On a besoin de la voiture pour aller au lycée.
- Oh quel dommage.
Sur ce, elle ouvrit fièrement la porte en me lançant un petit sourire accompagné d’un regard remplis à la fois d’arrogance et de fierté. Je poussai un long soupire en secouant la tête qui fut coupé par le retour soudain de Tim habillé dans la cuisine. Un T-shirt gris, un blouson en cuir et un jean descendu et troué lui servaient de vêtements. Un peu de gel dans ses cheveux pour les ébouriffer un peu lui donnait un aspect vaniteux. Je regardai l’heure ; il était 8h25. Je le regardai lui disant qu’il était l’heure de se rendre au lycée.

- Maggie a pris la voiture… lui avouai-je.
- C’est pas vrai ! Et toi t’as pas réagis pour changer, me répondit-il sèchement.
Je ne dis rien et me contenta de regarder Tim me faire les gros yeux. Ses yeux qui ressemblaient comme deux gouttes d’eau aux miens. Cette pensée m’énervait.

- Faut qu’on y aille parce qu’on est en retard, me dit-il en souriant exactement comme ma sœur.
Nous partîmes donc de la maison à pied et commençâmes à nous supporter l’un l’autre sur le chemin.
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